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La miniaturisation des composants microélectroniques, associée à des productions de plus en plus globalisées et portant sur de très grands volumes, ont permis de réduire radicalement les coûts de fabrication de ces microprocesseurs, ce qui a conduit à une démocratisation, une optimisation et un développement de gamme en continue des produits grand public les utilisant (smartphones, ordinateurs, montres, téléviseurs, …).
Le challenge de cette miniaturisation a été de faire évoluer en parallèle les produits (MEMS plus petits, plus puissants, plus rapides, moins consommateurs en énergie…), mais aussi les process de fabrication qui permettent de fiabiliser et d’accélérer ce type de fabrication. Dans cette course à la miniaturisation, les nanotechnologies correspondent à la fabrication et à la manipulation d’éléments de dimensions nanométriques (un milliardième de mètre, de la taille des atomes).
Au sein du secteur, l’évolution des paramètres produits (taille, prix, puissance, consommation, durabilité, …) a été progressivement rattrapée par certains paramètres “process” traduisant l’efficacité de l’outil industriel :
La fabrication et la mise au point finale de certains équipements spatiaux et/ou aéronautiques nécessitent d’être réalisés en environnement ultra-propre, en particulier en ce qui concerne les pollutions chimiques (COV, dégazage de matériaux, pollution des optiques…) et particulaires.
En parallèle des grands enjeux spatiaux internationaux où les grandes puissances sont tout à la fois concurrentes et partenaires (Nouvelle station internationale, développement de l’activité sur la lune, aller sur mars,…), le marché mondial des petits satellites situés en orbite basse est en pleine expansion depuis plusieurs années, et ce sous l’impulsion non seulement de pays mais aussi de grands groupes industriels privés, dont une majorité appartiennent au secteur des télécommunications et de l’observation terrestre.
Notamment à travers sa filiale Faure QEI implantée depuis les années 1990 dans le bassin grenoblois et sa participation au développement des grands acteurs régionaux sur plus de 25 ans, ATRIX connaît les process (dépôts, lithographie, gravure, épitaxie...) et équipements (implanteur, équipement de gravure, MOCVD, four, scrubber, …) mis en œuvre dans l’industrie de la microélectronique. Ainsi, notre groupe est en capacité de proposer des environnements et utilités qui tiennent compte de leurs contraintes spécifiques.
De la même façon l’implication du groupe dans le domaine spatial et aéronautique et ses capacités de R&D (influence du dégazage des matériaux constitutif d’une salle blanche sur le produit/process hébergé, simulation 3D…) lui permettent d’identifier pour ses clients les meilleurs compromis entre les contraintes techniques, les contraintes spatiales et les coûts d’investissement & coûts d’exploitation de ces environnements.
Aux différentes étapes de conception et de réalisation des projets, ATRIX s’adapte au plus juste aux besoins de ses clients et leur propose un environnement de recherche et/ou de production optimisé, modulable et évolutif sur le long terme.
Avec le support de toute l’expertise du groupe, nos architectes et ingénieurs projets pilotent nos opérations de maîtrise d’œuvre, d’assistance à maîtrise d’œuvre ou d’ingénierie intégrée à des marchés de conception réalisation. ATRIX a ainsi la capacité de s’engager sur des objectifs de résultats en matière de performances, de coûts et de plannings.
A travers ses divisions métiers, ATRIX propose une offre complète de conseil et d’expertises adaptée aux industries de hautes technologies. Les interventions s’inscrivent au sein de contrats cadres métiers ou de missions spécifiques dont les conclusions apportent les éclairages nécessaires aux arbitrages que les prescripteurs du groupe ATRIX souhaitent réaliser.
